Un artiste américain se sent mourir un peu plus chaque jour, coincé dans son travail de bureau, et assailli par des visions qui le poussent à remettre sa vie en question. Laissant tout derrière lui, il s'envole vers Lyon où il part à la recherche d'un banquier pour l'aider à déchiffrer ces visions qui lui ont déjà coûté sa carrière, et menacent sa famille et sa raison. Une des particularités de Mandorla est le changement de format de l’image au fil de l’histoire. Pour représenter le monde intérieur, celui de l’esprit, des rêves et des souvenirs, l’image a le format habituel (1.77:1) comme dans la toute première scène. Lorsque l’image rétrécit (3.55:1) nous entrons dans le monde de tous les jours.
